
Un article de La Presse, publié le 18 juillet dernier, nous prouve encore une fois que le marché immobilier dans les Laurentides vit une expansion phénoménale ces derniers mois.
Dans son article « Surenchère au bord du lac », Stéphanie Grammond rapporte entre autres les paroles d’Anouk Vidal, courtier chez RE/MAX bonjour. La journaliste dénote un intérêt grandissant envers les résidences secondaires :
« Depuis le début de la pandémie, les chalets ont le vent dans les voiles. Les prix ont explosé dans les zones rurales. Au lieu de voyager à l’étranger, certains acheteurs reluquent un chalet pour leurs vacances. Grâce à l’essor du télétravail, d’autres veulent déguerpir à la campagne pour de bon. »
La popularité de la région administrative des Laurentides a grimpé d’un cran depuis le confinement de ce printemps. Il faut dire qu’avant même la crise, la population laurentienne a augmenté drastiquement. La région est d’ailleurs toujours classée numéro 1 en termes de croissance pour les prochaines années.
Comme l’explique Stéphanie Grammond dans son article, il n’y a pas que les maisons qui se vendent comme des petits pains chauds sur la Rive-Nord ; les résidences secondaires ont définitivement la cote depuis cet été :
« Dans les Laurentides, l’Estrie et Lanaudière, le nombre de ventes de résidences au bord de l’eau a grimpé de 16 % depuis trois mois (avril, mai et juin) même si le marché a été paralysé durant plusieurs semaines. »
La situation actuelle a poussé les Québécois à revoir leur façon de profiter de leurs vacances. Plutôt que de voyager à l’extérieur du pays, on priorise maintenant le staycation… et c’est tout à l’avantage des Laurentides, comme le décrit la journaliste :
« Tous les experts tracent un lien direct entre la pandémie et l’effervescence de l’immobilier à la campagne. La demande soudaine vient de clients du 450 et du 514, des gens qui souhaitent quitter Montréal pour s’installer dans des régions moins densifiées.
Certains cherchent un chalet, car ils réalisent qu’il sera plus difficile de voyager à l’étranger. D’autres veulent carrément décamper des centres urbains maintenant que leur employeur accepte le télétravail. »
Tendance passagère ou nouvelle réalité ? Nous avons bien hâte de le découvrir !
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